dimanche 7 février 2010

Non

En tombant là dessus, je me suis dit que non, décidément, je n'ai pas envie de retourner vivre là bas.
Déjà, cet accent, je ne m'y referais jamais.
Et puis, imaginer que je vienne à l'attraper?


t'es pas de sainté toi? Mc Pampille une journée de fou
envoyé par jue999. - Découvrez de nouvelles destinations en vidéo.

Non, sérieusement, je préfère encore l'accent vosgien de mon chéri...et pourtant, l'accent vosgien quoi!

Et encore, là vous avez rien sur le climat...du vent et puis de la pluie...et quand il neige, vu que ça monte de partout, tout le monde est bloqué...

En même temps, si c'est le prix à payer pour avoir du boulot...

jeudi 4 février 2010

Lecture du moment

Oui, je doit être une des rares personne à n'avoir point lu de Marcel Pagnol.
Mais j'ai vu les films hein!

Et puis l'autre jour, chez mon fournisseur de livres habituel (si si, tu le connais, c'est cette association crée par l'Abbé Pierre à qui les gens donnent les objets qu'ils ne veulent plus et qui me propose les livres de poches à 50 centimes pièce), je tombe sur ça :Alors oui, la couverture est d'époque hein...
Et c'est drôlement bien en fait.
Contrairement au film, je trouve qu'il y a un humour dans la façon de décrire les personnages qui me plait bien.
J'ai hate d'aller me coucher pour lire la suite (même si je connais la fin...).

En fait, j'essaye de me remettre de ça :
(oui, ilvient du même endroit)
Le problème avec "La maison aux esprits" c'est que c'est un de ces bouquins énormes qui raconte la vie des personnages depuis avant leur naissance. Alors on sait tout d'eux, on les connait bien.
Et puis comme le livre est gros, on met un peu de temps à le lire.
On voit les personnages évoluer, grandir. Ils nous accompagnent dans notre vie de tous les jours, ils sont là, au fond de notre sac. Au moindre temps mort, on file les retrouver.
Ils étaient là quand je stressait pour savoir si j'allais avoir mon semestre.
Ils étaient là quand j'ai appris que mon copain arrivait en fin de droit dans 2 semaines.
On s'attache à eux.

Et puis un jour, le livre se termine.
On le referme et on le pose sur l'étagère en se disant "ah, celui là il était bien, vivement que j'en retrouve un qui me plaise autant".

Mais au fond, on a quand même un pincement au coeur.