mardi 5 octobre 2010

"La forêt des Mânes"

Ouvrir un livre de Jean Christophe Grangé, pour moi, ça veut dire me couper du monde.

Je sais quand j'en entame un que je ne vais plus rien faire d'autre que lire dans les jours à venir.

Et puis la nuit aussi, tard.

Ses histoires ne sont absolument jamais crédibles. L'intérêt n'est pas là.

C'est toujours assez violent, on se dit heureusement que c'est un livre et pas un film...même en livre j'arrive à faire des cauchemars (je suis une personne sensible, oui, je sais).

Les personnages sont improbables, là c'est une juge qui se transforme en wonderwoman à la recherche d'un tueur sanguinaire. Elle ne dort plus, elle se bat contre des trucs 8 fois plus forts qu'elle, elle sauve même un pompier des flammes.

Non, mais l'intérêt n'est pas là.

L'intérêt c'est ce suspens si bien dosé. C'est chaque chapitre qui donne envie de lire celui d'après.

Les livres de Jean Christophe Grangé sont toujours d'énormes pavés : on sait qu'on en aura pour son argent (façon de parler puisque pour ma part, je les empruntes à la bibliothèque).

Et surtout, chacun de ses roman nous emmène dans une contrée lointaine et mystérieuse.

Là on s'en va en Amérique du sud. Et comme à chaque fois, on a l'impression d'y être.


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